Un nouvel écoquartier, écorempart

Maison Neuve I Guérande I France

Date : 2011 - en cours
Prix : 12M €
Maitrîse d'ouvrage : LAD SELA (Loire Atlantique Développement)

Programme

Conception et mise en oeuvre d’un écoquartier - 650 logements, commerces, école, équipements publics. 

Maîtrise d’ouvrage

LAD SELA

Maîtrise d’oeuvre

Lieux FAUVES/Tekhnê - études d'urbanisme et environnementale / architecte en chef (mandataire)
ORIGAMI - paysage
SCE - VRD / environnement

Surface

Superficie : 35 ha / SdP : 53 450m2

Coûts

12M€ 

Dates / Livraison

2011 - en cours
Label Ecoquartier Niveau 2
2022 - Lauréat AMI "Quartier Bas Carbone"

Enjeux

Ventilation naturelle non assistée pour les logements collectifs / Valorisation de la terre issue des terrassements / Structuration de la filière terre / Matériaux biosourcés

Un nouvel écoquartier, écorempart

Maison Neuve I Guérande I France

Programme

Conception et mise en oeuvre d’un écoquartier - 650 logements, commerces, école, équipements publics. 

Maîtrise d’ouvrage

LAD SELA

Maîtrise d’oeuvre

Lieux FAUVES/Tekhnê - études d'urbanisme et environnementale / architecte en chef (mandataire)
ORIGAMI - paysage
SCE - VRD / environnement

Surface

Superficie : 35 ha / SdP : 53 450m2

Coûts

12M€ 

Dates / Livraison

2011 - en cours
Label Ecoquartier Niveau 2
2022 - Lauréat AMI "Quartier Bas Carbone"

Enjeux

Ventilation naturelle non assistée pour les logements collectifs / Valorisation de la terre issue des terrassements / Structuration de la filière terre / Matériaux biosourcés

Description

Un nouveau quartier, écorempart, comme limite de la ville : Prolonger la ville de Guérande, faire entrer la nature en coeur de ville, offrir des logements abordables et des services dans une région fortement demandé, penser un quartier autour de la trame verte, réussir la densité par l’habitat individuel.

 

Limite vivante : Situé sur la frange Ouest de Guérande, le nouveau quartier constitue un écorempart, nouvelle et dernière limite de la ville. Il s’installe dans un paysage constitué, écrit par l’activité agricole et le vocabulaire du système bocager. Au Sud et à l’Est, il rencontre les franges pavillonnaires de la ville. 

Le concept d’écorempart, est interprété comme une limite épaisse et mixte, installée dans les lignes du paysage, guidée par le chemin de l’eau et l’occupation agricole. Il s’agit de prolonger, à travers l’urbanisation, l’éco-système global par de vastes espaces ouverts ou développer des usages et paysages singuliers : le “pré fertile” (potagers, vergers, ruches) ; le “pré commun” (prairie de jeux), le “sillon nature” (roselière, continuité écologique).

 

Des hameaux en coeur de quartier : Les quatre secteurs urbanisables, délimités par la trame paysagère, sont pensés et dessinés comme “quatre hameaux”, maillés avec la ville ou ouverts sur le grand paysage. Sur le modèle des structures villageoises vernaculaires (“les communs”), la définition de points d’articulation, lieux d’intensité bâtie et programmatique, permet de forger une identité singulière à chaque secteur, ponctuant les parcours et mettant en scène le rapport ville-campagne. 

 

Crédits photos : Valéry Joncheray