Description

La période que nous vivons actuellement, faisant émerger l’inattendu*, fait émerger ou accélère des réflexions, des envies de changement, mais aussi des difficultés sociales, économiques qu’il est nécessaire d’intégrer, et de percevoir, sans vouloir choquer, de la concevoir comme une chance. 

Servons nous de cette disruption pour penser la ville plus en harmonie, évitant toute conduite centrée sur la seule économie et enfin renoncer à l’ébriété énergétique. 

Comment nos villes, et à l’échelle plus fine nos quartiers sont en capacité d’offrir aux usagers les fondamentaux de la qualité de vie ? 

Vénissieux, comme l’ensemble des communes lyonnaises va subir ces prochaines années un évolution climatique majeure, auxquels nombres d’espaces et de logements ne sont pas adaptés. Face à cette évolution, l’un des premier enjeu est de définir les conditions d’habiter, de travailler de vivre au quotidien adaptées à l’augmentation de la température, les excès pluviométriques ou l’inverse, les périodes de sécheresse. 

Le confort d’été, la réduction des îlots de chaleur urbain, la présence systématique d’oasis urbaine, lieux de rafraîchissement, la préservation de l’eau devront guider chacune de nos propositions et se traduire dans le choix des formes urbaines et les programmations, dans l’aménagement des espaces publics. 

Comment faire de ces données de risques, les composantes du projet urbain ? Comment intégrer la dimension de santé ? Certains parleront de résilience, nous pensons écosystème.